mercredi 13 avril 2016

La chronique de Nicolas Winter sur Just a Word

http://justaword.eklablog.com/critique-vostok-a125648674

On pourrait encore parler longuement de Vostok, de la paranoïa qui suinte par moments des pages, de l’horreur sourde qui peut le hanter par instant, du constant souci du détail de l’auteur pour ses personnages, et même finir par dire quelques petites choses à propos de sa fin qui rejoint l’univers de Lady Star à mots couverts. Mais nous nous arrêterons là, découvrez le reste par vous-même. Difficile en vérité d’égaler un aîné aussi épatant que l’était la dernière œuvre desKloetzers. Alors Laurent a choisi de ne pas le faire, de tracer son propre chemin dans la neige. 
Et il ne s’effacera pas de sitôt.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire