C’est l’aspect scientifique qui se
révèle le plus intéressant. Dans cette base de Vostok (qui existe bel et
bien), la scientifique soviétique Veronika Noguera a effectué quarante
ans auparavant des recherches sur le climat et abouti à la découverte
d’une nouvelle bactérie. Le récit des aventures de Leo et de son frère
Juan est entetrecoupé d’extraits du journal de Veronika qui fournit de
nombreuses précisions à qui en souhaite sur ces recherches, trop
nombreuses à mon goût.
Je n’ai été sensible ni au huis-clos, ni
aux interactions entre les personnages. Je n’ai rien lu d’original dans
ce roman, ni de vraiment inquiétant. Sur le même thème, j’ai préféré Point zéro d’Antoine Traqui, autrement plus palpitant.