jeudi 28 avril 2016

La chronique de Cyrille

http://blog.cyrille.free.fr/?p=893

Vostok est une formidable réussite. C’est un roman haletant, dense, passionnant de bout en bout qui distille une ambiance particulièrement réussie, un effet de claustrophobie teinté de mystère fantastique. Quant au dernier quart du roman, il ouvre des perspectives vertigineuses. L’histoire prend alors une coloration science-fictive plus marquée, tout en conservant son rythme effréné.
Après ses deux romans écrits en collaboration avec son épouse Laure (Le deuxième L du « symbionime » [comme l’appelle l’éditeur en 4 ° de couv] LL Kloetzer), qui privilégiaient un peu trop, selon moi, l’expérimental ou l’exercice de style, Laurent Kloetzer a trouvé, avec Vostok le juste équilibre : ce n’est pas un nième roman qui se fond dans la masse des parutions, on y trouve une patte et un style tout à fait original, mais la narration est plus classique, et c’est très bien ainsi.

mardi 26 avril 2016

La lecture de Xapur

Introduisant un élément « techno-fantastique » avec un personnage ghost, sorte d’hybride entre un garçon et un programme informatique, Kloetzer réussit à faire le lien entre deux générations d’héroïnes à fort caractère. La jeune Leo, sœur de Juan le truand sanguinaire et superstitieux, et la savante défunte Veronika, qui a marqué durablement son ancien collègue Vassili, et que l’on découvrira notamment grâce à des extraits de son livre. Un pont générationnel à la fois technologique – et parfois même mystique – réussi.
Le lien avec l’univers d’Anamnèse, ténu au début du roman se fait réellement sur la fin, sans que la lecture de cet autre roman soit impérative (mais je vous la conseille, anyway, parce que Kloetzer, c’est bien). Vostok reste largement plus abordable et moins complexe, et donc tout aussi recommandable. Partez explorez l’enfer blanc, en découvrir ses secrets, y croiser ses fantômes et revenez-en changé. Ou bien choisissez d’y rester…

dimanche 24 avril 2016

La chronique d'Efelle

http://efelle.canalblog.com/archives/2016/04/24/33712978.html

Récit de deux épopées antarctiques, réminiscences des expériences de Veronika captées par Araucan et transmises à Leo d'un côté et lente descente aux enfers glacée de l'autre... Tout en approfondissant son univers, Laurent Kloetzer livre ici un récit apre et prenant, le froid et l'isolement sont mortels mais c'est souvent l'esprit qui flanche le premier. Malgré tout l'espoir n'est pas absent de même que l'émerveillement scientifique... Un excellent récit entre réalité scientique et mysticisme et surtout un beau voyage.

mercredi 20 avril 2016

La chronique de livrement

https://livrement.com/2016/04/20/vostok-laurent-kloetzer/

« Vostok » de Laurent Kloetzer nous plonge dans un hiver extrême en plein Antarctique. Nous suivons Leo et les pérégrinations de ses compagnons à travers une mission minutée. Vostok, lieu-personnage, leur délivre alors un secret. Le roman d’anticipation est trempé dans le suspense et prend pour scène, un décor aussi beau que saisissant.

lundi 18 avril 2016

La chronique de Sofynet

http://sofynet2008.canalblog.com/archives/2016/04/17/33678580.html

Le thème est très actuel et aussi inquiétant que prenant. Les personnages, en particulier celui de Leo, sont intéressants, aussi troubles qu'attachants, et très vite on veut savoir si cela va se finir au mieux... même si on en doute beaucoup. Les dimensions sf et fantastique sont aussi fines que bien menées, et on se surprend à y croire (malheureusement dirais-je pour certains points...).

La chronique de geekette.fr

http://geekette.fr/2016/04/vostok-de-laurent-kloetzer/

J’ai beaucoup aimé ce roman, qui m’a semblé un peu plus accessible que son prédécesseur. On suit principalement Leo dans cette histoire, une jeune femme de 16 ans à peine, plongée dans l’enfer des guerre de cartels puis dans un huis clos plein de tension en Antartique. Le contraste entre les deux univers est évident, mais la souffrance et la rage de vivre est la même dans ces deux endroits ! Heureusement, elle a pour elle d’être très intelligente, et d’avoir à ses côté son ghost Araucan. Ce garçon apparaît et disparaît sans raison, a besoin de se nourrir de choses et de situations nouvelles, et ne peux pas contre-dire les humains auprès de qui il vit, jusqu’à en souffrir.

mercredi 13 avril 2016

La chronique de Nicolas Winter sur Just a Word

http://justaword.eklablog.com/critique-vostok-a125648674

On pourrait encore parler longuement de Vostok, de la paranoïa qui suinte par moments des pages, de l’horreur sourde qui peut le hanter par instant, du constant souci du détail de l’auteur pour ses personnages, et même finir par dire quelques petites choses à propos de sa fin qui rejoint l’univers de Lady Star à mots couverts. Mais nous nous arrêterons là, découvrez le reste par vous-même. Difficile en vérité d’égaler un aîné aussi épatant que l’était la dernière œuvre desKloetzers. Alors Laurent a choisi de ne pas le faire, de tracer son propre chemin dans la neige. 
Et il ne s’effacera pas de sitôt.

La chronique d'addict culture

http://addict-culture.com/vostok-de-laurent-kloetzer/


Vostok, c’est cela : un mélange détonnant entre la science, les croyances, la survie en milieu hostile. Un périple glacial et explosif parfois, qui ne va finalement jamais là où nous l’attendons.

La chronique d'unwalkers

http://www.unwalkers.com/tag/vostok-de-laurent-kloetzer/

Roman d’aventure paré de tous ces attraits, de l’action, du suspense, de l’idéologie, et une trame inédite etc, le tout servi avec une plume de maitre….Sérieux ne passez pas à coté de ce roman, sinon vous êtes des buses !

Vostok dans la salle 101

http://emission.salle101.org/?p=1493

[...] déterminée à laver la Place de la République dans le sang, les larmes et la mort, pour mieux lui restituer ses vraies valeurs familiales et libérales, la Salle 101 parle de Fabcaro et de Winshluss, grands bédéastes touchés par les Dieux, d’un roman uchronique anglais paru dans une collection policière, et de Vostok, petit dernier de Laurent Kloetzer. Si avec tout ça, tu continues à te plaindre, franchement, que faire ?

Le roman a été lu par Alice et Georgile Abdaloff. Les mutations de ce genre devraient être interdites. Ecoutez l'émission (au bout du lien) pour savoir ce qu'elles en disent !

dimanche 10 avril 2016

Interview de l'auteur sur le site de Gromovar

http://www.quoideneufsurmapile.com/2016/04/interview-laurent-kloetzer-homme-de.html

Laurent Kloetzer devient progressivement un habitué de ce blog. Interviewé ici mais aussi là, ses romans hors fantasy ont souvent été chroniqués dans ces parages.
Le dernier sorti est Vostok, un excellent texte d'aventure scientifique et personnelle dans l'un des lieux les plus inhospitaliers de la planète.

Laurent Kloetzer a gentiment accepté de répondre à quelques questions sur cette dernière œuvre. Suivons-le vers l'Antarctique.

Bonjour Laurent. Tu viens de publier Vostok, une palpitante histoire de quête située dans un lieu très inhospitalier, la station antarctique Vostok. Pourquoi avoir décidé d’écrire sur un tel lieu ?

Laure et moi avions envie depuis longtemps d’écrire une histoire antarctique et nous suivions dans les journaux les découvertes faites à la base Vostok (surtout les percées autour du lac, ça nous paraissait très lovecraftien. D’ailleurs j’avais chroniqué le point ici, alors que je ne pensais pas encore écrire quoi que ce soit à ce sujet). Puis Laure m’a mis dans les mains le livre de Jean-Robert Petit, qui m’a complètement fasciné (Vostok, le dernier secret de l’Antarctique, Paulsen). Pour l’histoire véritablement épique qu’il évoque, et pour le récit de la science telle qu’elle se fait. Quand le moment est venu d’écrire un récit antarctique, nous savions que ça tournerait autour de la base Vostok.
J’ai été particulièrement touché, dans le livre de Petit, par cette relation très sentimentale de l’auteur avec ce lieu. J’ai voulu travailler avant toute chose sur cette émotion.

Pourquoi ce roman est-il un Laurent Kloetzer et pas un L.L. Kloetzer, contrairement à Anamnèse ?

C’est un projet L.L. Kloetzer (le scénario et l’idée de base), mais pour des raisons d’emploi du temps et de charge de travail, j’y ai travaillé seul. Les défauts sont donc tous de moi.

Comment t’es-tu documenté sur les conditions de vie et de travail dans les bases antarctiques ?

En lisant des livres et en voyant des films… comme tout le monde. C’est un sujet très bien documenté. Le plus dur était de se renseigner sur les expéditions russes, la documentation en français ou en anglais à ce sujet n’est pas très abondante et mon russe pas assez bon. J’ai toutefois eu de bonnes surprises, comme par exemple de pouvoir lire 72°C en dessous de zéro, un roman d’aventure soviétique des années 70, traduit à l’époque chez Pygmalion.



Tes personnages sont des membres de cartels chiliens. Pourquoi ce choix « exotique » ?

Je voulais que l’Antarctique ne soit pas trop loin, or le Chili est tout proche du continent blanc. De plus, Juan est venu tout de suite, avec une silhouette inspirée par un bon copain chilien. A quoi tiennent les idées…

Ton personnage principal, Léo, est une très jeune fille issue d’un pays pauvre. Comment as-tu procédé pour rendre crédible un personnage aussi éloigné de toi ?

Je suis bien content que tu l’aies trouvée crédible. J’attends maintenant le retour de lecture d’une vraie jeune fille de quinze ans (l’une d’elles a relu le début du roman, ça m’a aidé).

Etait-il important pour toi que les deux personnages centraux du roman (Léo et Veronika) soient des femmes vainquant l’adversité ?

Carrément. On ne choisit pas le genre de ses personnages au hasard, et quand un homme écrit sur des femmes, il doit toujours travailler sur les représentations, les clichés. Plus précisément, j’ai écrit ce roman pour une jeune fille et pour mes filles, j’avais envie de leur donner de beaux personnages auxquels s’identifier. Ni putains, ni vierges, ni princesses.

Pourquoi avoir fait de Veronika, la scientifique ex-soviétique, une pasionaria komsomol ? Y a-t-il un peu de son idéal en toi ?

L’URSS a connu son festival d’horreurs, mais c’était aussi un pays porté par une idéologie très puissante, dont certaines valeurs me parlent. Spoutnik tout comme Vostok sont deux enfants de l’Année Géophysique Internationale. A l’époque de la rédaction de Vostok, Laure me lisait des extraits de La fin de l’homme rouge, livre bouleversant de Svetlana Alexeievitch sur le monde soviétique. Ça m’a influencé.


Qu’éprouves-tu pour ces hommes qui partaient si loin, si longtemps pour faire avancer la science ? Que sais-tu de leurs motivations ? Comment les juges-tu ?

Petit décrit cela bien mieux que moi. Il montre comment la connaissance scientifique se bâtit sur toutes sortes de raisons : rivalités, amitiés, magouilles, honneurs, mais qu’au fond elle rassemble plus qu’elle ne sépare.

La vie dans Vostok met à l’écart d’un monde qui apparaît progressivement de plus en plus artificiel. Est-ce ainsi que tu vois le monde ? Caresses-tu aussi un rêve d’ermitage ? As-tu lu Dans les forêts de Sibérie de Sylvain Tesson ou d’autres livres racontant des expériences d’isolation extrême ?

Il y a sans doute dans ce roman un fantasme de repli sur le bunker. Mais le repli à Vostok ne peut pas être autarcique. Sans le reste du monde, la station meurt.

Tu es quelqu’un qui connaît parfaitement l’œuvre de Lovecraft. Comment ne pas être écrasé par l’ombre des Montagnes hallucinées et de sa quête d’inconnu dans le grand Sud ? Plus généralement, y a-t-il des œuvres (que tu pourrais conseiller) auxquelles tu reconnaitrais une parenté avec Vostok ?

Tu as raison, la présence des Montagnes Hallucinées était écrasante. De plus, après avoir relu le texte et passé des heures à faire jouer des explorateurs des années 30 écrasés sur les pentes de la plus haute chaîne de montagne qui soit sur Terre, j’avais l’imaginaire envahi par cette vision de l’Antarctique. C’est le livre de Petit qui a tout débloqué, en me faisant connaître ce qui vient après l’âge héroïque des explorateurs (de Bellingshausen à Byrd, en passant par Scott et Amundsen), c’est à dire l’âge scientifique et géopolitique de l’Antarctique, qui n’est pas moins passionnant.
En écrivant Vostok, j’avais également une autre référence en tête (très humblement) : l’Ile au trésor. Un voyage lointain, une séquence initiale dans le pays d’origine, un enfant perdu au milieu de personnages plus ou moins méchants, forcé à son tour de jouer un rôle. J’ai relu l’Ile au trésor après avoir fini Vostok, et je me suis dit qu’il restait beaucoup à apprendre.

Pourquoi avoir situé ce roman dans le monde d’Anamnèse ? Et pourquoi y avoir mis en scène un « ghost » ? Le roman n’aurait-il pas fonctionné, même un peu différemment, sans cet élément ?

Ça faisait partie du projet dès le début. Le roman devait se passer dans notre futur, et je n’ai pas tant de futurs disponibles. Par ailleurs, d’un point de vue narratif, le ghost permet de traiter de manière plus intéressante le personnage de Leo, il apporte une belle dimension littéraire.

Tu abordes incidemment la question du réchauffement climatique et de l’entrée en anthropocène. Dans quelle mesure cette question te préoccupe-elle ? Comment vois-tu l’avenir sur cette question ?

La question me préoccupe personnellement, mais je n’ai pas grande autorité pour en parler. Après ça, les livres qu’on écrit sont le reflet de notre temps.

Je te remercie infiniment et je souhaite longue vie à Vostok.

La chronique des naufragés volontaires

 
Sur cette base historique, Laurent Kloetzer crée donc sa fiction. Il revient sur la réalité. La détourne au besoin pour coller avec son récit. Il crée des personnages intéressants et un récit d'anticipation qui fonctionne assez bien. De par le huis clos qui se crée dans la base de Vostok, on est rapidement immergé dans une ambiance tendue. Et plus le récit avance et plus on sent que des choses étaient cachées, que ceux qui manipulent sont aussi manipulés. Mais le forage doit avancer car l'hiver approche et le froid sera d'autant plus mortel.

Laurent Kloetzer offre donc une anticipation intéressante avec "Vostok". Il rejoint le merveilleux scientifique en lui donnant une base scientifique réelle et historique, mais il a la qualité que d'autres auteurs n'ont pas : celle de ne pas tomber dans l'excès de sciences, de ne pas vouloir étaler trop de détails. Son récit avance comme un thriller et il ne tombe jamais dans les travers de la hard science.

mardi 5 avril 2016

La prophétie des ânes

http://laprophetiedesanes.blogspot.ch/2016/04/vostok-laurent-kloetzer.html


Le récit est brillant, parfaitement bien mené. J'ai été emporté très vite par ce thriller d'anticipation où Laurent Kloetzer développe son intrigue avec beaucoup de finesse et de recherche. C'est un roman riche tant par la qualité de la narration que par la qualité des investigations qu'a du mener l'auteur. Il excelle dans la transmission/ retranscription des données scientifiques sans perdre le lecteur en route. J'ai été plusieurs fois subjuguée par la profusion d'informations, de leur qualité, de la finesse de leur exploitation. Les personnages eux ne sont pas en reste.
Alors oui je sais que la renommée de Laurent Kloetzer aussi bien que l'entité créé avec son épouse L.L. Kloetzer n'est plus à prouver.
Une magnifique découverte que j'ai lu avidement et surtout avec énormément d'admiration. Je manque de superlatif pour vous dire combien ce livre est un immanquable de cette année 2016.

Les lectures de Brigt

http://lecturesdebrigt.canalblog.com/archives/2016/03/31/33570595.html

Vostok est à la fois un récit de Science Fiction et un thriller. Le site de Vostok est à lui seul un personnage que l'auteur présente sous un jour effrayant, mortifère, mais aussi d'une grande beauté, magnétique, presque féerique. Je me suis facilement attachée à Léo que j'ai vu grandir au cours du récit, passer en peu de temps de l'enfance à l'âge adulte. Les autres personnages sont eux aussi intéressants et l'intrigue bien menée, il n'y a pas de temps morts. On sent que l'auteur s'est beaucoup documenté sur la base et les études qui y ont été menées. Les passages du livre de Véronika, lus par Léo, amènent encore plus de précision sur son histoire.

La chronique des tribulations littéraires

http://tribulationslitteraires.com/vostok-de-laurent-kloetzer/

Malheureusement cela n’a pas tout fait et ce livre a aussi à mes yeux quelques défauts. Dans un premier temps, j’ai trouvé que ce roman était plat et qu’il en répondait pas à mes attentes. Je pensais que quelque chose attendait les personnages à Vostok, qu’ils ne seraient vraiment pas seuls. En lisant le résumé c’est l’idée qui m’est venue et comme ce n’est pas le cas j’ai été déçue. J’ai aussi trouvé que malgré la tension grandissante et quelques moments clefs, le roman manquait d’action et de peps. D’un côté ça colle parfaitement au thème, à ce retrait et cette immobilité au milieu d’un Vostok entièrement recouvert d’une épaisse couche de neige, de l’autre côté je voulais que ça bouge plus, qu’il se passe vraiment quelque chose de dingue qui me ferait sauter dans mon plaid. Pour tout vous dire, j’avais un mal fou à rentrer dans le livre dès que je reprenais ma lecture et quand j’ai vu les dernières pages arrivées je me suis dit « enfin j’en vois le bout ! ». Je ne dis pas que l’auteur aurait dû ajouter des créatures horribles qui les auraient tous mangés d’ici la fin du roman mais un peu plus de drame, un peu plus de folie dû à l’enfermement chez les personnages m’aurait plus plu.
Globalement, vous l’aurez compris, ce n’était pas une lecture affreuse mais il est clair que Vostok ne m’a pas marqué. L’univers futuriste reste assez flou même si on capte certaines choses et on ne comprend finalement pas trop les vrais enjeux de ce voyage au fin fond de l’Antarcique. Toutefois, Laurent Kloetzer a su attiser ma curiosité et je pense retenter un de ses romans un jour. Je pense surtout à Anamnèse de Lady Star qui est à peine cité sur la quatrième de couverture. J’ai été voir le résumé et ça me semble chouette alors il est parti dans ma wish-list en attendant que je retente l’expérience Laurent Kloetzer.

La chronique de culturevsnews

https://culturevsnews.wordpress.com/2016/03/25/vostok-de-laurent-kloetzer/

Ici point de créature extraterrestre mais une base; un lieu qui fait bon de ne pas y vivre face à une certaine beauté qui s’en dégage, ce lieu devient un des personnages les plusimportants du récit. Laurent Kloetzer sait décrire les situations les plus fortes pour nous entrainer au plus loin dans le livre avec ses descriptions sur les techniques et historique. La fin est ouverte ce qui laissera le lecteur choisir l’avenir des personnages.