vendredi 18 mars 2016

La chronique de Thierry Di Rollo

http://mondesnoirs.blogspot.ch/2016/03/lumiere-humaine.html

....malgré la propension intermittente de Kloetzer à écouter plus sa voix que celle de ses personnages, nous imposant des dérives peut-être trop appuyées; malgré cela, il reste l'essentiel: un souffle indéniable, une capacité à nous entraîner, irrésistible; l'histoire incroyablement sincère d'une transmission humaine plus forte que ceux qu'elle est censée servir.
La lumière incarnée par un petit bout de femme nommée Leonara, plus blanche et plus pure encore que les étendues aveugles de l'Antarctique.

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